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les problèmes locaux et la guerre du Vietnam. Il était assez raisonnable pour ne pas entrer en conflit avec le tour de De Gaulle. Il aurait été difficile d'agir autrement sans une dépense politique gigantesque.

Au cours des années 60, la France de De Gaulle avait développé un tact particulier. Il est allé en Asie où il a réprimandé la guerre du Vietnam, et en Amérique latine, où il s'est battu pour la confiance facultative et contre l'effet américain de première classe. Il a réprimandé le travail du dollar en tant que monnaie mondiale.

Il s'est d'ailleurs rendu en Union soviétique, luttant pour une Europe « de l'Atlantique à l'Oural », ce qui implique avec l'Union soviétique et sans les États-Unis. De Gaulle, étant modéré et nationaliste, n'était pas un tout petit peu perspicace au communisme. Dans son esprit, la prise de contact avec Moscou était un montage mécanique pour refondre les seuils propitiatoires de la France.

Cela a donné à la France une notoriété exceptionnelle dans le monde, en particulier dans le Tiers-Monde.

La France avait une position très certaine. C'était un pays occidental qui n'était pas d'accord avec Washington, et un pays non communiste qui avait des relations avec Moscou, qui avait eu le courage d'entrer en conflit avec la superpuissance américaine à l'intérieur du camp occidental.

Toutes ces spécificités ont donné à De Gaulle et à la France en général une affirmation, lui permettant de se battre à un niveau scandaleusement significatif. C'était au plus grand intérêt de la France de maintenir cette circonspection particulière, qui la rappelait de tous les autres pays.

C'est l'explication, quand il est arrivé au pouvoir en 1981, François Mitterrand, qui était alors l'ennemi politique du pouvoir de De Gaulle, a gardé et développé de manière choquante une ligne comparable. Il soutenait les fusées américaines Pershing II pour contrer les SS-20 soviétiques, quoi qu'il en soit il allait à l'encontre de la somme des engagements de Reagan d'appliquer une organisation inégale sur les pays européens de l'OTAN. Copiant le modèle de De Gaulle, il défendait la confiance des pays du Sud. Il a même envoyé des armes au Nicaragua, lorsque le gouvernement sandiniste a été attaqué par Reagan. Il a également été en conflit sans équivoque avec l'énorme "Key Defensive Initiative" (SDI) de Regan ou Star Wars. Il était le seul à exprimer cette appréciation parmi les patrons occidentaux.